Focus homéopathie et phytothérapie
Conseil :
En première intention, le conseil doit être de ne pas prendre de phytothérapie pendant le traitement de chimiothérapie.
→ Certaines plantes sont responsables d'augmentation de toxicité,
→ D'autres de diminution d'efficacité via les voies de métabolisation des cytochromes (en particulier pour les inhibiteurs de tyrosine kinases).
Des effets immunosuppresseurs additifs et l'effet antioxydant de certaines plantes peuvent complexifier la recherche d'interactions métaboliques.
Dans tous les cas, le patient doit être interrogé sur ses pratiques d'automédication et un traitement concomitant n'est envisageable qu'après réalisation d'une analyse pharmacologique spécifique.
